Titre
La vie rêvée d'Ève
Auteure
Anna Carey
Édition
Pocket jeunesse
Nombre de pages
245 pages
USA 2032.
Seize ans après qu’un virus mortel a décimé la Terre, hommes et femmes vivent séparés. Ève, 18 ans, n’a jamais quitté l’enceinte de son école. Elle pense qu’un avenir radieux l’attend, jusqu’à ce qu’elle découvre la terrible vérité : les jeunes diplômées sont enfermées dans une clinique où elles enchaînent les maternités pour repeupler le monde dévasté.Horrifiée, Ève s’enfuit. Commence alors un voyage solitaire et périlleux à travers la Zone, où elle doit éviter les chiens sauvages et les hommes qui la terrifient. Jusqu’au jour où elle rencontre Caleb, un jeune rebelle qui gagne peu à peu sa confiance… puis son cœur
Sauf à le payer très cher. Mais dans ce monde ravagé, l’amour est un luxe qu’Ève ne peut se permettre.
Seize ans après qu’un virus mortel a décimé la Terre, hommes et femmes vivent séparés. Ève, 18 ans, n’a jamais quitté l’enceinte de son école. Elle pense qu’un avenir radieux l’attend, jusqu’à ce qu’elle découvre la terrible vérité : les jeunes diplômées sont enfermées dans une clinique où elles enchaînent les maternités pour repeupler le monde dévasté.Horrifiée, Ève s’enfuit. Commence alors un voyage solitaire et périlleux à travers la Zone, où elle doit éviter les chiens sauvages et les hommes qui la terrifient. Jusqu’au jour où elle rencontre Caleb, un jeune rebelle qui gagne peu à peu sa confiance… puis son cœur
Sauf à le payer très cher. Mais dans ce monde ravagé, l’amour est un luxe qu’Ève ne peut se permettre.
Ce roman nous transporte dans un monde post apocalyptique ou
tout ressemble à un conte de fée. Malheureusement, notre héroïne va
rapidement voir ses espoirs anéantis. Effectivement, elle apprend et voit de
ses propres yeux les mères porteuses lors les premiers chapitres. Il est
intéressant d'entrer rapidement dans une histoire, toutefois ici il y a un
manque flagrant de profondeur. L'auteur nous permet seulement de voir
en surface ce qui se passe et donc les émotions sont pratiquement inexistantes. De
plus, la facilité avec laquelle elle réussit à s'enfuir de son école laisse à
discuter. L'auteur n'élabore pas du tout sa dystopie. Oui on apprend ce que
vivent les filles et les garçons, mais on ne le vit pas du tout. On se sent
très détaché de ce qui leur arrive, surtout qu'on ne voit pas les
protagonistes le vivre eux-mêmes. La dystopie est donc traiter
avec beaucoup trop de superficialité et sans émotions. De plus, notre
protagoniste principale reste très naïve la majeur parti du roman ce qui peut
être énervant pour le lecteur. On le goût de la secouer à plusieurs reprise
pour qu'elle démontre un peu de caractère. Elle croit encore tout ce
qu'elle a appris à l'école même si elle connait le sort réservé aux jeunes
filles ce qui est tout à fait aberrant. Oui il y a un endoctrinement depuis
longtemps cela en devient irréaliste. La fin a toutefois su me plaire, car
on sent enfin que l'héroïne évolue et qu'un soulèvement va enfin se
préparer. Au lieu de seulement fuir, il y aura des actions pour renverser le
gouvernement. J'espère ne pas me tromper en espérant un tome deux supérieur à
l'introduction de l'histoire qu'a été le premier. Un avis mitigé mais qui
laisse présager une histoire qui va évoluer d'une belle façon.
Merci à Interforum éditis Canada pour cette lecture
Un bel avis malgré tout... Mais j'avoue que le sujet n'est pas très exploité!
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